En juillet 1995, la police place en garde à vue Jean-Stéphane Saizelet et de Nadège Wiktorska dans le cadre de l'enquête sur le décès de Jean-Bernard Wiktorska.
En juillet 1995, un appel anonyme informe la police que le décès d'un homme, Jean-Bernard Wiktorska, déclaré comme accidentel, serait en fait un meurtre. Il aurait été tué par sa femme et son amant. L'autopsie de son corps récupéré juste avant l'incinération confirme l'homicide. Les policiers interpellent le couple dénoncé par la mystérieuse informatrice ainsi que la femme chez qui ils sont découverts. Mais, lors de cette arrestation, l'homme prétend s'appeler Jean-Bernard Wiktorska, c'est-à-dire qu'il donne l'identité du mort. Ils sont transférés à la brigade criminelle de Versailles. Il est 13h15 le 20 juillet 1995, leur garde à vue commence.