Sur Twitter via @Cdenquete. Une équipe de journalistes a suivi, dans le Nord de la Syrie, le quotidien d'une cinquantaine de djihadistes Français, installés là-bas pour certains depuis 2013. Tous ont été recrutés par un seul et même homme : un Niçois qui se faisait appeler Omar Omsen.
Sur Twitter via @Cdenquete. Une équipe de journalistes a suivi, dans le Nord de la Syrie, le quotidien d'une cinquantaine de djihadistes Français, installés là-bas pour certains depuis 2013. Tous ont été recrutés par un seul et même homme : un Niçois qui se faisait appeler Omar Omsen.
Sur Twitter via @Cdenquete. Une équipe de journalistes a suivi, dans le Nord de la Syrie, le quotidien d'une cinquantaine de djihadistes Français, installés là-bas pour certains depuis 2013. Tous ont été recrutés par un seul et même homme : un Niçois qui se faisait appeler Omar Omsen. Contrairement aux idées reçues, les Français ne se radicalisent pas que sur internet. 95% basculent sous l'emprise physique d'un recruteur. Ces «rabatteurs» savent bien choisir leur cibles, tout en restant dans l'ombre. C'est l'histoire des deux frères Clain, dont l'un des deux a lu, en français, le communiqué de revendication par le groupe Etat Islamique des attentats de novembre 2015. Une enquête qui passe également par La Réunion et Raqqa, Toulouse et Alençon.