Mohamed, Haifa et leurs trois filles ont dépensé 11 000 euros pour quitter Damas et rejoindre l'Europe. Il y a 35 ans, les boat-people fuyaient eux aussi leur pays en quête d'une vie meilleure. Que sont-ils devenus ? Rendez-vous à Calais, où les passeurs agissent au grand jour devant des policiers débordés.
Mohamed, Haifa et leurs trois filles ont dépensé 11 000 euros pour quitter Damas et rejoindre l'Europe. Il y a 35 ans, les boat-people fuyaient eux aussi leur pays en quête d'une vie meilleure. Que sont-ils devenus ? Rendez-vous à Calais, où les passeurs agissent au grand jour devant des policiers débordés.
• L'image du corps inanimé du petit Aylan Kurdi, échoué sur une île grecque, a fait pleurer l'Europe. Depuis, cette dernière ouvre les yeux sur le sort des réfugiés. Mohamed, Haifa et leurs trois filles ont dépensé 11 000 euros pour quitter Damas. : La route sans fin
• Il y a 35 ans, les boat-people fuyaient leur pays sur des bateaux de fortune en quête d'une vie meilleure. A l'époque, la France avait accueilli plus de 120 000 réfugiés en quelques années. Que sont-ils devenus ? : Boat-People : les migrants oubliés
• A Calais, les passeurs agissent au grand jour devant des policiers débordés : impossible de contrôler tous les camions et voitures à destination de la Grande-Bretagne. Les réseaux font appel à des individus censés passer le tunnel avec des clandestins dans le coffre de leurs véhicules. : Calais : la bonne fortune des passeurs