Sur Twitter via @Cdenquete. Des oeuvres d'art, pillées dans les zones de guerre au Proche et au Moyen-Orient puis revendues à de riches collectionneurs et antiquaires en Europe, constituent un business illégal de plusieurs centaines de millions d'euros qui serait l'une des principales sources de financement des groupes terroristes.
Sur Twitter via @Cdenquete. Des oeuvres d'art, pillées dans les zones de guerre au Proche et au Moyen-Orient puis revendues à de riches collectionneurs et antiquaires en Europe, constituent un business illégal de plusieurs centaines de millions d'euros qui serait l'une des principales sources de financement des groupes terroristes.
Sur Twitter via @Cdenquete. Des oeuvres d'art, pillées dans les zones de guerre au Proche et au Moyen-Orient puis revendues à de riches collectionneurs et antiquaires en Europe, constituent un business illégal de plusieurs centaines de millions d'euros qui serait l'une des principales sources de financement des groupes terroristes. Pendant un an, «Complément d'enquête» a remonté la piste de ces trafiquants, des cités antiques de Libye jusqu'aux petits revendeurs clandestins sur Ebay et aux galeries d'art parisiennes.