Au sommaire : Ma vie sous les balles. Le 29 janvier dernier, à La Bricarde, un des quartiers nord de Marseille, un adolescent a été poignardé à mort. Mon fils, ce tueur. - Une maison pour les «incasables». Des mineurs qui ont épuisé toutes les structures et les dispositifs traditionnels, sont accueillis dans un internat socio-éducatif médicalisé pour adolescents, en Eure-et-Loir.
Au sommaire : Ma vie sous les balles. Le 29 janvier dernier, à La Bricarde, un des quartiers nord de Marseille, un adolescent a été poignardé à mort. Mon fils, ce tueur. - Une maison pour les «incasables». Des mineurs qui ont épuisé toutes les structures et les dispositifs traditionnels, sont accueillis dans un internat socio-éducatif médicalisé pour adolescents, en Eure-et-Loir.
• Le 29 janvier dernier, à La Bricarde, un des quartiers nord de Marseille, un adolescent est poignardé à mort dans ce qui semble être un règlement de comptes. Martial venait de fêter ses 16 ans, dix jours auparavant. Originaire de la Castellane, considérée comme une cité ennemie, il faisait office de guetteur dans un trafic de drogue, selon la police. Reportage à Marseille. : Ma vie sous les balles
• Mon fils, ce tueur
• Depuis 2010, les «incasables», des mineurs qui ont épuisé toutes les structures et les dispositifs traditionnels tels que centres éducatifs fermés ou institutions psychiatriques, ont une maison, ou plutôt un Isema, un internat socio-éducatif médicalisé pour adolescents, en Eure-et-Loir, à Illiers-Combray. : Les «incasables»