La motion de censure, déposée sur le texte instaurant l'élection présidentielle au suffrage universel direct, est un affront pour le président de Gaulle : même des élus de sa majorité ont manifesté leur opposition. Après la dissolution, beaucoup de députés perdront leur siège, et plus aucun député ne votera de motion de censure jusqu'à nos jours.
La motion de censure, déposée sur le texte instaurant l'élection présidentielle au suffrage universel direct, est un affront pour le président de Gaulle : même des élus de sa majorité ont manifesté leur opposition. Après la dissolution, beaucoup de députés perdront leur siège, et plus aucun député ne votera de motion de censure jusqu'à nos jours.