Le conteur italien Ascanio Celestini revient avec une fable sur les petites gens, baptisée «Laïka» en hommage à cette petite chienne des rues qui fut envoyée dans l'espace sans espoir de retour. David Murgia, seul en scène dans son long manteau noir, prête sa voix aux sans-voix. Accompagné par l'accordéon de Maurice Blanchy, il incarne le Christ revenu sur terre, qui observe les errements des déshérités et des précaires qui peuplent son quartier.