Avec cinq coéquipières, Stéphanie Geyer-Barneix a traversé les 8000 kilomètres séparant le Pérou de la Polynésie française sur un paddleboard, à la force de ses bras / La Russie assure ce mois-ci la présidence tournante du Conseil de sécurité de l'Onu : l'organisation internationale est-elle en état de mort cérébrale ?
Avec cinq coéquipières, Stéphanie Geyer-Barneix a traversé les 8000 kilomètres séparant le Pérou de la Polynésie française sur un paddleboard, à la force de ses bras / La Russie assure ce mois-ci la présidence tournante du Conseil de sécurité de l'Onu : l'organisation internationale est-elle en état de mort cérébrale ?
• Grâce au paddle, Stéphanie Geyer-Barneix a trouvé sa planche de salut
• La Russie préside le Conseil de sécurité : le coup de grâce pour l'ONU ?