Le Cassis de Dijon n'est pas qu'une boisson apéritive, c'est aussi un principe économique qui devait mettre à mal l'îlot de cherté helvétique. Ce principe importé de la législation européenne est entré en vigueur le 1er juillet 2010. Quatre ans plus tard, les promesses se sont révélées bien creuses : 45 produits seulement sont pour l'instant concernés, dont la moitié pour des détails d'étiquetage.