A la fin de l'Apartheid, l'hippisme, qui était, comme le rugby, réservé à la population blanche, s'est peu à peu ouvert aux populations de «couleurs».
Avec 45 000 courses par an, l'Afrique du Sud est un pays qui a évolué. A la fin de l'Apartheid, l'hippisme, qui était un sport, commme le rugby, réservé à la population blanche, s'est peu à peu ouvert aux populations de «couleurs». Ce documentaire tend à montrer les nouveaux acteurs de la filière hippique.