Venu à la danse par le hip-hop, Mourad Merzouki fonde en 1996 la compagnie Käfig, qui s'abreuve à de multiples courants artistiques. En 2006, le chorégraphe rencontre la Companhia Urbana de Dança, venue présenter à la Biennale de Lyon les spectacles «Helicopter» et «Ziriguidum». De cette collaboration à la confluence de plusieurs univers naît «Agwa», un spectacle commun placé sous le signe de l'eau, à la fois élément essentiel de notre corps, ressource que l'on se doit d'économiser et de préserver, et symbole de renouveau. Sur scène, les danseurs de la Companhia Urbana de Dança virevoltent dans un tourbillon de figures acrobatiques autour de quelques gouttes de cette eau, d'autant plus précieuse qu'elle se fait rare.
Venu à la danse par le hip-hop, Mourad Merzouki fonde en 1996 la compagnie Käfig, qui s'abreuve à de multiples courants artistiques. En 2006, le chorégraphe rencontre la Companhia Urbana de Dança, venue présenter à la Biennale de Lyon les spectacles «Helicopter» et «Ziriguidum». De cette collaboration à la confluence de plusieurs univers naît «Agwa», un spectacle commun placé sous le signe de l'eau, à la fois élément essentiel de notre corps, ressource que l'on se doit d'économiser et de préserver, et symbole de renouveau. Sur scène, les danseurs de la Companhia Urbana de Dança virevoltent dans un tourbillon de figures acrobatiques autour de quelques gouttes de cette eau, d'autant plus précieuse qu'elle se fait rare.