Il y a 40 ans, l'atoll polynésien de Makatea, dans l'archipel des Tuamotu, comptait 3000 habitants. Aujourd'hui, ils sont à peine une quarantaine à se partager des sites uniques et grandioses, mais aussi des ruines industrielles et les milliers de trous générés par l'exploitation du phosphate.
Il y a 40 ans, l'atoll polynésien de Makatea, dans l'archipel des Tuamotu, comptait 3000 habitants. Aujourd'hui, ils sont à peine une quarantaine à se partager des sites uniques et grandioses, mais aussi des ruines industrielles et les milliers de trous générés par l'exploitation du phosphate.
Il y a 40 ans, l'atoll polynésien de Makatea, dans l'archipel des Tuamotu, comptait 3000 habitants. Aujourd'hui, ils sont à peine une quarantaine à se partager des sites uniques et grandioses, mais aussi des ruines industrielles et les milliers de trous générés par l'exploitation du phosphate. C'est au début du XXe siècle, sous l'impulsion d'un notaire de Papeete, que la Compagnie française des phosphates de l'Océanie a été créée pour exploiter ce sel d'origine organique que l'on utilise comme engrais. La population de l'île a alors été multipliée par cent. Aujourd'hui, alors que les mines sont désaffectées, l'île est redevenue quasiment déserte.