1994, à Butare, Elisabeth Burdot dressait le portrait de rescapés du génocide. Elle a retrouvé 10 ans après deux de ces Rwandais qui témoignent de l'extraordinaire volonté de "résilience" à l'oeuvre dans leur pays. Cette capacité à surmonter la souffrance et les épreuves pour aller de l'avant.
1994, à Butare, Elisabeth Burdot dressait le portrait de rescapés du génocide. Elle a retrouvé 10 ans après deux de ces Rwandais qui témoignent de l'extraordinaire volonté de "résilience" à l'oeuvre dans leur pays. Cette capacité à surmonter la souffrance et les épreuves pour aller de l'avant.