En 1996, deux expositions, l'une à Namur, l'autre au Musée de la photographie de Charleroi, retracent la vie des milliers d'Italiens venus travailler dans les charbonnages à partir de 1946. La Belgique les a fait venir pour effectuer les tâches dont les Belges ne voulaient plus. Ils furent indispensables au redémarrage de l'économie wallonne d'après-guerre. Ils sont aujourd'hui, eux et leurs descendants, présents dans toutes les couches de la société.
En 1996, deux expositions, l'une à Namur, l'autre au Musée de la photographie de Charleroi, retracent la vie des milliers d'Italiens venus travailler dans les charbonnages à partir de 1946. La Belgique les a fait venir pour effectuer les tâches dont les Belges ne voulaient plus. Ils furent indispensables au redémarrage de l'économie wallonne d'après-guerre. Ils sont aujourd'hui, eux et leurs descendants, présents dans toutes les couches de la société.
En 1996, deux expositions, l'une à Namur, l'autre au Musée de la photographie de Charleroi, retracent la vie des milliers d'Italiens venus travailler dans les charbonnages à partir de 1946. La Belgique les a fait venir pour effectuer les tâches dont les Belges ne voulaient plus. Ils furent indispensables au redémarrage de l'économie wallonne d'après-guerre. Ils sont aujourd'hui, eux et leurs descendants, présents dans toutes les couches de la société.