2004. Rénover le musée Royal d'Afrique centrale de Tervuren (2004-2010) n'est pas seulement une opération immobilière et financière de 27 millions d'euros. C'est aussi et surtout interroger notre histoire coloniale et s'interroger sur l'art et les cultures africaines, la collection unique de sculptures, de masques "collectés" par le musée depuis sa création. Comment ? En racontant l'histoire de plusieurs "objets" d'Afrique, dans le temps et l'espace, décrits et conservés par des ethnologues, des artistes, les rénovateurs du musée. Archives filmées, photos, journaux de découvreurs, le film, interrogent aussi l'avenir : un musée "colonial" historique ou un musée d'Afrique pour les africains. En collaboration avec la Sonuma.
2004. Rénover le musée Royal d'Afrique centrale de Tervuren (2004-2010) n'est pas seulement une opération immobilière et financière de 27 millions d'euros. C'est aussi et surtout interroger notre histoire coloniale et s'interroger sur l'art et les cultures africaines, la collection unique de sculptures, de masques "collectés" par le musée depuis sa création. Comment ? En racontant l'histoire de plusieurs "objets" d'Afrique, dans le temps et l'espace, décrits et conservés par des ethnologues, des artistes, les rénovateurs du musée. Archives filmées, photos, journaux de découvreurs, le film, interrogent aussi l'avenir : un musée "colonial" historique ou un musée d'Afrique pour les africains. En collaboration avec la Sonuma.