A Lisbonne et au Portugal, la résistance s'organise afin de sauver la ville et ses habitants, menacés par les changements économiques liés à l'invasion touristique.
Lisbonne compte désormais neuf touristes pour un habitant. Conséquence de cette réalité, les biens immobiliers se vendent comme des petits pains. Le label «Boutique historique» permet à des commerces installés de longue date d'échapper à la spéculation. La municipalité vient d’ailleurs d’adopter sa propre loi et envoie sur place des équipes de «secouristes» qui luttent pour la «survie de l’âme historique de Lisbonne».