En métamorphosant, en 1852, l'enseigne "Au bon marché", Aristide Boucicaut a révolutionné les pratiques commerciales et la condition des femmes.
En 1852, Aristide Boucicaut entame un chantier qui va transformer le magasin de nouveautés qu'il dirige, "Au bon marché", en un somptueux temple de 50 000 m2. Les bourgeoises s'y pressent, ravies de trouver un prétexte pour s'échapper du logis. Quant aux vendeuses, elles travaillent dur, mais grimpent dans l'échelle sociale. Emile Zola immortalise l'enseigne dans son roman "Au bonheur des dames".