Dans un calendrier mis à mal par la dissolution de l'Assemblée nationale, en juin dernier, la Défenseure des droits présente son rapport annuel d'activité aux députés. Pour la quatrième année, c'est à Claire Hédon, nommée en juillet 2020, qu'il incombe de faire le point devant la commission des lois, 6 mois après la publication de son rapport. L'exercice est un classique, mais les questions sont nombreuses face à l'augmentation de 10% des réclamations et 18% des appels adressés au Défenseur des droits entre 2022 et 2023.
Dans un calendrier mis à mal par la dissolution de l'Assemblée nationale, en juin dernier, la Défenseure des droits présente son rapport annuel d'activité aux députés. Pour la quatrième année, c'est à Claire Hédon, nommée en juillet 2020, qu'il incombe de faire le point devant la commission des lois, 6 mois après la publication de son rapport. L'exercice est un classique, mais les questions sont nombreuses face à l'augmentation de 10% des réclamations et 18% des appels adressés au Défenseur des droits entre 2022 et 2023.