Thomas Lebrun questionne sa danse dans une pièce pour douze interprètes, une création de «longue haleine» pour reprendre ses propres mots. Il est question de conviction et de survie : celles d'un peuple, d'une communauté, d'une esthétique, d'une pensée, d'une croyance. Un affrontement, une prise d'espace radicale, ancrée, explique le chorégraphe.
Thomas Lebrun questionne sa danse dans une pièce pour douze interprètes, une création de «longue haleine» pour reprendre ses propres mots. Il est question de conviction et de survie : celles d'un peuple, d'une communauté, d'une esthétique, d'une pensée, d'une croyance. Un affrontement, une prise d'espace radicale, ancrée, explique le chorégraphe.