Bien que révoltée par le crime de l'accusée, Risako est troublée par sa personnalité et par les les difficultés qu'elle a rencontrées en tant que mère.
Le procès suit son cours, avec son lot de révélations et d'hypothèses dérangeantes, toutes accablantes pour l'accusée. Pourtant, Risako ne peut s'empêcher de reconnaitre de troublantes similitudes dans son parcours de vie et d'éprouver une empathie pour Mizuho qu'aucun autre juré ne ressent. Dans l'intimité, sa propre confiance s'érode, à force d'être rabaissée par son mari qui ne la croit pas capable de tenir le rythme du procès. Pour ne rien arranger, sa mère, avec qui elle entretient des rapports conflictuels, lui rend visite à l'improviste...