À Istanbul, sept Kurdes âgés de 20 à 50 ans partagent une modeste colocation. Ils font face à un rejet nourri par de très anciens préjugés, alimentés par le président Erdogan.
À Istanbul, sept Kurdes âgés de 20 à 50 ans partagent une modeste colocation. Venus travailler dans la plus grande ville du pays afin de subvenir aux besoins de leurs familles restées en Anatolie, ils rognent sur toutes les dépenses du quotidien. Membres d'un peuple montré du doigt par le président Erdogan, ils font également face à un rejet nourri par de très anciens préjugés.