Au début des années 90, Jean-Marie Bigard façonnait ses personnages, entrant tour à tour dans la peau d'un taureau, de Tarzan ou de Georges Brassens, et affirmait le style qui a depuis fait sa renommée : un mélange de situations quotidiennes grotesques et de règlements de comptes. A l'époque, l'humoriste se mêlait par exemple de politique avec le sketch «Les Enculés de droite et les Enculés de gauche», et égratignait Philippe Bouvard, qui avait jadis refusé de le recruter dans son célèbre Petit Théâtre.
Au début des années 90, Jean-Marie Bigard façonnait ses personnages, entrant tour à tour dans la peau d'un taureau, de Tarzan ou de Georges Brassens, et affirmait le style qui a depuis fait sa renommée : un mélange de situations quotidiennes grotesques et de règlements de comptes. A l'époque, l'humoriste se mêlait par exemple de politique avec le sketch «Les Enculés de droite et les Enculés de gauche», et égratignait Philippe Bouvard, qui avait jadis refusé de le recruter dans son célèbre Petit Théâtre.