Avec son inimitable gouaille et son attitude désinvolte visant à choquer ouvertement son auditoire, Jean-Marie Bigard joue une fois de plus les vrais-faux vulgaires. En 2001, il pousse le public du Palais omnisports dans les derniers retranchements d'un registre puissamment élargi. Défendant sans complexe son attachement à la rigolade gonflée, Jean-Marie Bigard a prévenu : il faut bourrer Bercy. Ce soir-là, il déballe ses sketches outranciers avec délectation. A grands renforts de fous rires, le public montre qu'on ne peut faire autrement que d'entrer dans le jeu. La complicité avec l'humoriste - qui n'en manque pas une - est alors totale.
Avec son inimitable gouaille et son attitude désinvolte visant à choquer ouvertement son auditoire, Jean-Marie Bigard joue une fois de plus les vrais-faux vulgaires. En 2001, il pousse le public du Palais omnisports dans les derniers retranchements d'un registre puissamment élargi. Défendant sans complexe son attachement à la rigolade gonflée, Jean-Marie Bigard a prévenu : il faut bourrer Bercy. Ce soir-là, il déballe ses sketches outranciers avec délectation. A grands renforts de fous rires, le public montre qu'on ne peut faire autrement que d'entrer dans le jeu. La complicité avec l'humoriste - qui n'en manque pas une - est alors totale.