Lieu de rencontre incontournable avant-guerre, le bistrot de quartier bruxellois, symbole de convivialité locale, disparaît peu à peu à la fin des années 70.
Alors que la nuit tombe sur Bruxelles, les estaminets, cafés, caboulots et caberdouches se remplissent peu à peu. Avant-guerre, la capitale comptait un café pour cent personnes. L'estaminet était le lieu où les histoires du quartier se racontaient et circulaient. A la fin des années 70, la brasserie devient un lieu de commerce, et le café de quartier tend à disparaître. Mais, malgré tout, les bistrots restent des lieux où les gens aiment se retrouver pour parler, boire, manger et s'amuser.