"Yes She Can !". L'ancien slogan d'Obama a été dépoussiéré hier à la Convention démocrate. Michelle et Barack Obama sont venu soutenir Kamala Harris, la candidate du parti pour la présidentielle de novembre, et cette phrase a été scandée de toute part. Depuis le retrait de Joe Biden il y a un mois, "l'effet Kamala" est palpable. L'espoir est retrouvé comme le montrent les sondages : Harris est donnée vainqueur avec 48 % des voix contre 47% pour son rival républicain.Harris et son colistier Tim Walz arrivent notamment à fédérer à gauche. Sur le plan économique, ils défendent un durcissement de l'imposition des sociétés et souhaitent mettre plus à profit les plus riches. Une image plus à gauche donc que Joe Biden, qui a fait ses adieux lundi lors de l'ouverture de la convention.Pendant ce temps, Trump est en perte de vitesse.
"Yes She Can !". L'ancien slogan d'Obama a été dépoussiéré hier à la Convention démocrate. Michelle et Barack Obama sont venu soutenir Kamala Harris, la candidate du parti pour la présidentielle de novembre, et cette phrase a été scandée de toute part. Depuis le retrait de Joe Biden il y a un mois, "l'effet Kamala" est palpable. L'espoir est retrouvé comme le montrent les sondages : Harris est donnée vainqueur avec 48 % des voix contre 47% pour son rival républicain.Harris et son colistier Tim Walz arrivent notamment à fédérer à gauche. Sur le plan économique, ils défendent un durcissement de l'imposition des sociétés et souhaitent mettre plus à profit les plus riches. Une image plus à gauche donc que Joe Biden, qui a fait ses adieux lundi lors de l'ouverture de la convention.Pendant ce temps, Trump est en perte de vitesse.