C'est un choc pour tout le monde de la justice et plus particulièrement l'administration pénitentiaire qui n'avait pas vécu la mort d'un agent depuis plus de trente ans. Hier matin, deux d'entre eux ont été tués, abattus par un commando à la sortie d'un péage d'Incarville, dans l'Eure, lors de l'attaque à l'arme de guerre de leurs fourgons qui transportaient un détenu, Mohamed Amra. Trois autres agents ont été grièvement blessés lors de cette évasion ultraviolente. Après la sidération des premières heures, les syndicats de l'administration pénitentiaire ont appelé à une journée "prisons mortes", fortement suivie aujourd'hui partout en France.
C'est un choc pour tout le monde de la justice et plus particulièrement l'administration pénitentiaire qui n'avait pas vécu la mort d'un agent depuis plus de trente ans. Hier matin, deux d'entre eux ont été tués, abattus par un commando à la sortie d'un péage d'Incarville, dans l'Eure, lors de l'attaque à l'arme de guerre de leurs fourgons qui transportaient un détenu, Mohamed Amra. Trois autres agents ont été grièvement blessés lors de cette évasion ultraviolente. Après la sidération des premières heures, les syndicats de l'administration pénitentiaire ont appelé à une journée "prisons mortes", fortement suivie aujourd'hui partout en France.