Née dans la ville de Saint-Pierre de la Martinique, surnommée le petit Paris des Antilles, la biguine rencontre au XIXe siècle un succès phénoménal. Ses mélodies font danser les Antilles, mais aussi peu à peu la France, car nombreux sont les artistes qui arrivent à séduire les métropolitains. Dans le Paris des Années Folles notamment, des bals s'accordent sur ces rythmes venus d'ailleurs et les enregistrements se multiplient. Aujourd'hui, cette musique fait intégralement partie du patrimoine culturel de la Martinique, qu'il est donc important de transmettre aux nouvelles générations. La biguine se refait aussi une nouvelle jeunesse, grâce à certaines stations de radio qui sont bien décidées à la faire vivre encore et encore, mais aussi à l'instar d'artistes et collectionneurs, passeurs de relais.
Née dans la ville de Saint-Pierre de la Martinique, surnommée le petit Paris des Antilles, la biguine rencontre au XIXe siècle un succès phénoménal. Ses mélodies font danser les Antilles, mais aussi peu à peu la France, car nombreux sont les artistes qui arrivent à séduire les métropolitains. Dans le Paris des Années Folles notamment, des bals s'accordent sur ces rythmes venus d'ailleurs et les enregistrements se multiplient. Aujourd'hui, cette musique fait intégralement partie du patrimoine culturel de la Martinique, qu'il est donc important de transmettre aux nouvelles générations. La biguine se refait aussi une nouvelle jeunesse, grâce à certaines stations de radio qui sont bien décidées à la faire vivre encore et encore, mais aussi à l'instar d'artistes et collectionneurs, passeurs de relais.