A Séville, au XIXe siècle, une bohémienne au tempérament de feu et un brigadier, promis à une autre, entretiennent une relation tumultueuse.
Une place de Séville, vers 1820. Morales et d'autres soldats stationnent près du poste de garde. Micaela demande don José mais les soldats l'effarouchent et elle s'enfuit. Arrive la garde montante, précédée d'un groupe de garçonnets imitant le pas des dragons. Quand la cloche de la fabrique de cigares sonne la fin du travail, les cigarières franchissent les grilles. La foule s'écarte pour laisser passer «la Carmencita». Elle se moque des hommes qui se pressent autour d'elle. Gitane passionnée, Carmen tente d'attirer l'attention de don José, le seul qui ne semble pas s'intéresser à elle. Le célèbre réalisateur italien Franco Zeffirelli offre une mise en scène fastueuse de «Carmen», dans l'atmosphère particulière des arènes de Vérone.
L'Orchestre des arènes de Vérone