Révélé il y a quelques années par «Le Petit Théâtre de Bouvard», qui fut à l'origine de bien des vocations, le duo cynique de Chevallier et Laspalès repose sur une violente opposition des personnages. Entre le petit chafouin et le barbu aride se bâtissent des situations absurdes, qui brocardent la médiocrité ambiante et les travers de leurs contemporains. Devant le public du Dejazet, le duo comique se déchaîne sur la platitude ordinaire, la sécurité routière, l'alcoolisme, Marguerite Duras, le racisme et les oeuvres humanitaires.
Révélé il y a quelques années par «Le Petit Théâtre de Bouvard», qui fut à l'origine de bien des vocations, le duo cynique de Chevallier et Laspalès repose sur une violente opposition des personnages. Entre le petit chafouin et le barbu aride se bâtissent des situations absurdes, qui brocardent la médiocrité ambiante et les travers de leurs contemporains. Devant le public du Dejazet, le duo comique se déchaîne sur la platitude ordinaire, la sécurité routière, l'alcoolisme, Marguerite Duras, le racisme et les oeuvres humanitaires.