Jean-Charles aime l'odeur de la résine qui chauffe sous la lame, l'éclat de l'écorce qui vole, le froid des brumes hivernales. Viscéralement attaché à sa région, il se bat depuis des années pour y rester grâce à cette forêt qu'il travaille au corps. Amoureusement, comme tout bûcheron qui se respecte.