La FEI vient d’accorder aux clones équins le droit de concourir sur les terrains internationaux qui leur étaient fermés jusqu’à présent.
De la naissance de Dolly en 1997 à Edimbourg - le premier clone officiel d’une brebis - à l’adjudication pour 800 000 dollars de celui d’une jument de polo en 2010 en Argentine, le clonage continue d’évoluer quasiment en secret. C’est le français Eric Palmer qui est le «père» du clonage équin. Il a fondé avec ses mécènes la société Cryozootech qui affirme posséder à l’heure actuelle le patrimoine génétique de 130 chevaux à travers le monde. Un clone peut-il améliorer la race ou au contraire l’affaiblir ? Un clone de champion est-il prédestiné à devenir aussi performant que son modèle ?