Le business du cannabis en Seine-Saint-Denis rapporterait un milliard d'euros de chiffre d'affaires par an et emploierait 100 000 «salariés». A l'ombre des barres d'immeubles, cette économie parallèle s'est imposée. Petits dealers, gros bonnets, habitants : tous profitent directement ou indirectement de cette industrie devenue indispensable.
Le business du cannabis en Seine-Saint-Denis rapporterait un milliard d'euros de chiffre d'affaires par an et emploierait 100 000 «salariés». A l'ombre des barres d'immeubles, cette économie parallèle s'est imposée. Petits dealers, gros bonnets, habitants : tous profitent directement ou indirectement de cette industrie devenue indispensable.
Le business du cannabis en Seine-Saint-Denis rapporterait un milliard d'euros de chiffre d'affaires par an et emploierait 100 000 «salariés». A l'ombre des barres d'immeubles, cette économie parallèle s'est imposée, avec ses bons ou mauvais patrons, ses employés modèles, ses smicards et son «code du travail» très particulier. Aujourd'hui elle perfuse l'économie réelle : petits dealers et gros bonnets, avocats, hommes politiques et habitants, tous profitent directement ou indirectement de cette industrie devenue indispensable. Comment les narcotrafiquants blanchissent-ils cette manne ? L'Etat a-t-il vraiment intérêt à voir disparaître la vente de stupéfiants ? Sur Twitter via @Cdenquete.