Mener à bien une mission spatiale par mauvais temps est d'autant plus périlleux que de violentes tempêtes peuvent se former dans l'atmosphère terrestre et au-delà. Exemples.
Mener à bien une mission spatiale par mauvais temps est d'autant plus périlleux que de violentes tempêtes peuvent se former dans l'atmosphère terrestre et au-delà. Par exemple, un violent coup de foudre a ainsi paralysé le système informatique d'Apollo 12, des températures glaciales ont endommagé la navette spatiale Challenger, et une tempête de débris provenant d'un satellite s'est abattue sur la Station spatiale internationale.