A la Martinique, les habitants utilisent des taxis collectifs baptisés «taxicos». Ils sont encore 500 sur l'île. «Couleurs outremers» part aussi aux Antilles, à la rencontre d'une tradition qui remonte à l'époque de l'esclavage, celle du jardin créole qui sert à se nourrir et à se soigner.
A la Martinique, les habitants utilisent des taxis collectifs baptisés «taxicos». Ils sont encore 500 sur l'île. «Couleurs outremers» part aussi aux Antilles, à la rencontre d'une tradition qui remonte à l'époque de l'esclavage, celle du jardin créole qui sert à se nourrir et à se soigner.
A la Martinique, les habitants utilisent des taxis collectifs baptisés «taxicos». Ils sont encore 500 sur l'île à transporter les Martiniquais tôt le matin ou tard le soir. «Couleurs outremers» part aussi aux Antilles, à la rencontre d'une tradition qui remonte à l'époque de l'esclavage, celle du jardin créole. Ces jardins, loin d'être cantonnés à une fonction décorative, servent essentiellement à se nourrir et à se soigner. On appelle ça se dépolluer.