Après les vols low cost, les compagnies aériennes se tournent vers le marché du luxe. Repas trois étoiles, grands crus, et même salles de bain ou de douche : ils ne reculent devant rien pour séduire ceux qui rentabilisent le vol. En effet, les sièges première classe, qui ne représentent que 20% du trafic aérien, rapportent 50% du profit des compagnies. Il faut dire que certains riches clients sont prêts à dépenser 10 000 euros pour un vol Paris-New York.