Durant l'été 2004, à Fresne-sur-Marne, deux jeunes femmes sans vies sont repêchées dans une écluse du Canal de l'Ourcq. Pour les enquêteurs, ces deux crimes renvoient à un même meurtrier. Trois connaissances de l'une des défuntes s'avèrent suspects. Une plainte classée sans suite est aussi prise au sérieux.
Durant l'été 2004, à Fresne-sur-Marne, deux jeunes femmes sans vies sont repêchées dans une écluse du Canal de l'Ourcq. Pour les enquêteurs, ces deux crimes renvoient à un même meurtrier. Trois connaissances de l'une des défuntes s'avèrent suspects. Une plainte classée sans suite est aussi prise au sérieux.
A Fresne-sur-Marne, en juillet 2004, deux femmes mortes sont repêchées dans l'écluse du Canal de l'Ourcq. Les corps sont entravés et dénudés. Vraisemblablement, elles ont été jetées vivantes à l'eau. Pour les enquêteurs, ces deux crimes renvoient à un même auteur. L'un des corps est rapidement identifié : il s'agit d'une jeune femme bien sous tous rapports. Trois connaissances de la défunte intéressent les enquêteurs. Chez l'un de ses amis, du matériel sadomasochiste est retrouvé. L'enquête est méthodique, grâce au recueil de preuves ADN, d'analyses de téléphonie. Une plainte classée sans suite est aussi prise au sérieux : elle émane d'une victime qui a échappé de peu au même sort que les deux victimes.