D'un côté, une mélancolie légère et virtuose, de l'autre, une sensualité entêtante : ces deux oeuvres se font face et se répondent, au gré de tableaux vivants qui n'oublient pas pour autant de laisser la place au rêve, sur des musiques de César Franck et de Frédéric Chopin.
D'un côté, une mélancolie légère et virtuose, de l'autre, une sensualité entêtante : ces deux oeuvres se font face et se répondent, au gré de tableaux vivants qui n'oublient pas pour autant de laisser la place au rêve, sur des musiques de César Franck et de Frédéric Chopin.
L'Orchestre de l'Opéra national de Paris