Depuis le 1er février 2022, les enfants exposés aux violences conjugales ne sont plus considérés par la justice comme de simples témoins mais comme covictimes. Un décret qui leur permet enfin d'obtenir des soins après avoir été les spectateurs directs ou indirects des violences. Car, pour ces enfants, les traumatismes sont profonds.
Depuis le 1er février 2022, les enfants exposés aux violences conjugales ne sont plus considérés par la justice comme de simples témoins mais comme covictimes. Un décret qui leur permet enfin d'obtenir des soins après avoir été les spectateurs directs ou indirects des violences. Car, pour ces enfants, les traumatismes sont profonds.