Aux Antilles, "non" se dit awa, un non qui, pour la sortie du premier album de David Walters, symbolise le refus des frontières musicales. Originaire des Antilles, membre du collectif Electro Impala à Bordeaux et installé depuis cinq ans à Marseille, David Walters a trouvé l'équilibre entre musique afro-caribéenne, folk acoustique et sonorités électroniques. Sur scène, cet ex-sprinter de haut niveau met à profit son sens de la performance pour se métamorphoser en homme-orchestre.
Aux Antilles, "non" se dit awa, un non qui, pour la sortie du premier album de David Walters, symbolise le refus des frontières musicales. Originaire des Antilles, membre du collectif Electro Impala à Bordeaux et installé depuis cinq ans à Marseille, David Walters a trouvé l'équilibre entre musique afro-caribéenne, folk acoustique et sonorités électroniques. Sur scène, cet ex-sprinter de haut niveau met à profit son sens de la performance pour se métamorphoser en homme-orchestre.