La forêt occupe plus d'un tiers du territoire limousin et jusqu'à 70% du plateau de Millevaches ; une essence s'impose depuis peu : le Douglas.
Fille de l'exode rural et des politiques de reboisement d'après-guerre, la forêt occupe plus d'un tiers du territoire limousin, et jusqu'à 70% du plateau de Millevaches. Une essence s'impose depuis peu : le Douglas. Plébiscité par les industriels pour ses qualités techniques, ses cours sont au plus haut. Il est pourtant de plus en plus critiqué. Planté en monoculture sur des cycles courts, on le récolte sous le régime de la coupe rase. De plus en plus de voix s'élèvent contre ce mode de gestion productiviste qui ferme le paysage et détruit les sols.