La question du don d'organes, en cas de mort accidentelle, mais également lorsque les personnes ont décidé, de leur vivant, de devenir donneurs.
La famille Berrard a été confrontée à la question du don d'organes au moment de la mort accidentelle de leur garçon de 8 ans. Ils expliquent pourquoi, bien que favorables, ils ont eu tant de mal à prendre cette décision pour leur fils. En ce qui concerne les majeurs, la loi de 1976 considère chacun comme un donneur potentiel à moins qu'il se soit exprimé contre le don d'organe de son vivant. La question se pose de façon aigüe quand les personnes ne se sont jamais clairement exprimées. Même si la loi autorise en théorie le prélèvement dans ce cas, les médecins ne peuvent en réalité se passer du consentement de la famille.