Au sommaire : Maisons pirates : le business de la misère. La 6 octobre 2016, le parquet de Charleroi ordonne une descente de police au Home Massimo, une maison d'accueil de Gosselies. Ce que les enquêteurs découvrent ce jour-là, ce sont 46 locataires, des malades mentaux, pour la plupart, vivant dans des conditions d'hygiène indignes. - Qui veut la peau des juges ?
Au sommaire : Maisons pirates : le business de la misère. La 6 octobre 2016, le parquet de Charleroi ordonne une descente de police au Home Massimo, une maison d'accueil de Gosselies. Ce que les enquêteurs découvrent ce jour-là, ce sont 46 locataires, des malades mentaux, pour la plupart, vivant dans des conditions d'hygiène indignes. - Qui veut la peau des juges ?
• La 6 octobre 2016, le parquet de Charleroi ordonne une descente de police au Home Massimo, une maison d'accueil de Gosselies. L'endroit était dans le collimateur de la justice depuis plusieurs semaines. Ce que les enquêteurs découvrent ce jour-là, ce sont 46 locataires, des malades mentaux, pour la plupart, vivant dans des conditions d'hygiène indignes et livrés à eux-mêmes. Le propriétaire des lieux est aussi soupçonné de mauvais traitements, il est arrêté et la résidence est placée sous scellés. : Maisons pirates : le business de la misère
• Trois juges d'instruction ayant reçu des menaces ont accepté d'être suivis dans leur travail. Le ministre de la Jusctice voudrait supprimer leur fonction, au profit du Parquet. : Qui veut la peau de nos juges ?