Au sommaire : Cibles sur le trottoir. Au petit matin, dans un endroit aussi sordide qu'isolé, le corps d'une femme est découvert non loin des bords de Meuse, à Liège. - Trafic d'art : les dessous sales d'un marché chic. Des objets vendus en Belgiqe ont-ils servi à financer des groupes terroristes et donc éventuellement des attentats sur le sol européen ?
Au sommaire : Cibles sur le trottoir. Au petit matin, dans un endroit aussi sordide qu'isolé, le corps d'une femme est découvert non loin des bords de Meuse, à Liège. - Trafic d'art : les dessous sales d'un marché chic. Des objets vendus en Belgiqe ont-ils servi à financer des groupes terroristes et donc éventuellement des attentats sur le sol européen ?
• Au petit matin, dans un endroit aussi sordide qu'isolé, le corps d'une femme est découvert non loin des bords de Meuse, à Liège. La presse n'en parle pas, ou peu. La victime, se prostituait depuis des années dans le quartier Cathédrale nord, tout à côté du centre-ville. Un homme d'origine l'avait embarquée quelques heures plus tôt. : Cibles sur le trottoir
• Des objets vendus en Belgique ont-ils servi à financer des groupes terroristes et donc éventuellement des attentats sur le sol européen ? Après le trafic d'armes et de drogue, le trafic de biens culturels occupe le troisième rang des commerces illicites dans le monde. Selon certaines estimations, il pourrait représenter jusqu'à 20% du financement de Daesh. : Trafic d'art : les dessous sales d'un marché chic