Vingt ans après la disparition de Julie et Mélissa, le 24 juin 1995, le JT de la RTBF et le magazine «Devoir d'Enquête» consacrent une soirée entière à l'une des plus tragiques affaires judiciaires qu'ait connues la Belgique. A l'origine du drame, Marc Dutroux, un psychopathe, un pervers sexuel. En un peu plus d'un an, de juin 1995 à août 1996, il enlève six filles âgées de 8 à 19 ans.
Vingt ans après la disparition de Julie et Mélissa, le 24 juin 1995, le JT de la RTBF et le magazine «Devoir d'Enquête» consacrent une soirée entière à l'une des plus tragiques affaires judiciaires qu'ait connues la Belgique. A l'origine du drame, Marc Dutroux, un psychopathe, un pervers sexuel. En un peu plus d'un an, de juin 1995 à août 1996, il enlève six filles âgées de 8 à 19 ans.
Vingt ans après la disparition de Julie et Mélissa, le 24 juin 1995, le JT de la RTBF et le magazine «Devoir d'Enquête» consacrent une soirée entière à l'une des plus tragiques affaires judiciaires qu'ait connues la Belgique. A l'origine du drame, Marc Dutroux, un psychopathe, un pervers sexuel. En un peu plus d'un an, de juin 1995 à août 1996, il enlève six filles âgées de 8 à 19 ans, Julie, Mélissa, An, Eefje, Sabine et Laetitia. Quatre d'entre elles perdront la vie dans des conditions effroyables. La découverte du prédateur et de ses crimes plongera tout le pays dans l'horreur et provoquera une contestation radicale du système politique et judiciaire. «Chronique d'un échec annoncé», le premier reportage de la soirée, révèle que Julie, Mélissa, An et Eefje auraient pu être sauvées si un grand corps de l'Etat n'avait pas dysfonctionné.