Des objets vendus en Belgique ont-ils servi à financer des groupes terroristes et donc éventuellement des attentats sur le sol européen ? Après le trafic d'armes et de drogue, le trafic de biens culturels occupe le troisième rang des commerces illicites dans le monde. Selon certaines estimations, il pourrait représenter jusqu'à 20% du financement de Daesh.
Des objets vendus en Belgique ont-ils servi à financer des groupes terroristes et donc éventuellement des attentats sur le sol européen ? Après le trafic d'armes et de drogue, le trafic de biens culturels occupe le troisième rang des commerces illicites dans le monde. Selon certaines estimations, il pourrait représenter jusqu'à 20% du financement de Daesh.