De nombreux documentaires ont été consacrés aux femmes battues, mais peu aux enfants de ces couples. Ils ne sont pas des victimes collatérales mais des victimes à part entière quand la mère subit des violences, la santé mentale et physique des enfants chancelle. Avec des séquelles souvent lourdes, parfois irréversibles.
De nombreux documentaires ont été consacrés aux femmes battues, mais peu aux enfants de ces couples. Ils ne sont pas des victimes collatérales mais des victimes à part entière quand la mère subit des violences, la santé mentale et physique des enfants chancelle. Avec des séquelles souvent lourdes, parfois irréversibles.
De nombreux documentaires ont été consacrés aux femmes battues, mais peu aux enfants de ces couples. Ils ne sont pas des victimes collatérales mais des victimes à part entière quand la mère subit des violences, la santé mentale et physique des enfants chancelle. Avec des séquelles souvent lourdes, parfois irréversibles, même si les violences ne sont pas directement dirigées contre leur personne, elles engendrent de véritables traumatismes. «Doc Shot» a donné la parole à ces enfants devenus majeurs pour qu'ils racontent le huis-clos familial qui a marqué leur enfance et quels adultes ils sont devenus. A Saint Quentin, Kenny, Mélia et Louna, ont vécu la violence à la maison de manière crescendo : d'abord une violence psychologique invisible, puis les coups portés par leur père sur leur mère.