Durant un an, la réalisatrice Aymone de Chantérac a suivi le quotidien des patients et du personnel soignant de l'une des dix unités pour malades difficiles de France, celle de Cadillac, en Gironde (l'équivalent des centres de défense sociale en Belgique). En tout, 86 hommes y sont internés, qui ont commis des actes de violence graves.
Durant un an, la réalisatrice Aymone de Chantérac a suivi le quotidien des patients et du personnel soignant de l'une des dix unités pour malades difficiles de France, celle de Cadillac, en Gironde (l'équivalent des centres de défense sociale en Belgique). En tout, 86 hommes y sont internés, qui ont commis des actes de violence graves.
François Mazure propose une immersion dans un monde fermé par définition : celui de l'internement psychiatrique. Durant un an, la réalisatrice Aymone de Chantérac a suivi le quotidien des patients et du personnel soignant de l'une des dix unités pour malades difficiles de France, celle de Cadillac, en Gironde. Ces unités sont l'équivalent des centres de défense sociale en Belgique. En tout, 86 hommes sont internés à Cadillac. Les unités pour malades difficiles sont les unités psychiatriques les plus surveillées de France. On y soigne les malades mentaux dangereux pour la société, hospitalisés à la demande du préfet parce qu'ils ont commis des actes de violence, pouvant pour certains, aller jusqu'au meurtre.