D'abord réticent, Walter arrive enfin à parler de ce qui lui est arrivé dans son enfance et du terrible poids qu'il porte depuis de longues années.
Pour la première fois, Walter accepte de s'allonger sur le canapé dans le cabinet de Paul. Dans un premier temps, il refuse de se livrer, arguant qu'il n'est ici que parce que Connie l'y a incité. Interrogé par Paul, il admet qu'il prend trois à quatre somnifères tous les soirs depuis qu'il a été contraint de démissionner. Peu à peu, mis en confiance par l'attitude du thérapeute, il arrive à livrer ce qu'il a sur le coeur : il se sent responsable de la mort de son frère aîné...