200 000 touristes viennent chaque année passer leurs vacances sur les îles polynésiennes. Mais à Papeete, sur l'île de Tahiti, deux mondes à part se côtoient sans jamais se mélanger : d'un côté les Blancs, de l'autre les Polynésiens, qui vivent dans les bidonvilles. Chômage, pauvreté et violence peuplent aussi ce paradis.
200 000 touristes viennent chaque année passer leurs vacances sur les îles polynésiennes. Mais à Papeete, sur l'île de Tahiti, deux mondes à part se côtoient sans jamais se mélanger : d'un côté les Blancs, de l'autre les Polynésiens, qui vivent dans les bidonvilles. Chômage, pauvreté et violence peuplent aussi ce paradis.
200 000 touristes viennent chaque année passer leurs vacances sur les îles polynésiennes, France du bout du monde. Mais à Papeete, sur l'île de Tahiti, deux mondes à part se côtoient sans jamais se mélanger : d'un côté les Blancs, surnommés les «Popa'a», qui tiennent l'économie, de l'autre les Polynésiens, qui vivent dans les bidonvilles. La plupart de ces habitants, originaires d'archipel éloignés, ont renoncé à un mode de vie traditionnel dans l'espoir de trouver un travail en ville. Chômage, pauvreté et violence animent aussi ce paradis. Les hommes du commandement de la gendarmerie outre-mer (COMGEND) essaient de faire régner l'ordre. C'est aussi à Papeete que l'on trouve la prison la plus moderne de France.