Au sommaire : Cauchemar à la cantine. Un examen des contenus des plateaux servis aux enfants. - Le bureau des plaintes. Les policiers de la Brigade de Protection de la Famille accueillent les femmes violentées dans le XVe arrondissement de Paris. - L'héritière et les enfants de Bamako. En 2015, Madame Festoc, retraitée, lègue deux millions d'euros à une association.
Au sommaire : Cauchemar à la cantine. Un examen des contenus des plateaux servis aux enfants. - Le bureau des plaintes. Les policiers de la Brigade de Protection de la Famille accueillent les femmes violentées dans le XVe arrondissement de Paris. - L'héritière et les enfants de Bamako. En 2015, Madame Festoc, retraitée, lègue deux millions d'euros à une association.
• Une équipe s'est invitée à la table des enfants pour examiner le contenu des plateaux qui leur sont servis à la cantine, peu appétissants selon leurs dires. : Cauchemar à la cantine
• Au commissariat du XVe arrondissement, l'un des plus grands de Paris, les policiers spécialement formés de la Brigade de protection de la famille reçoivent les femmes victimes de violences conjugales, de harcèlement ou de viol venues porter plainte. : Le bureau des plaintes
• A la mort de son mari en 2015, Madame Festoc, paisible retraitée de 84 ans vivant en Normandie, décide de léguer deux millions d'euros à la Chaîne de l'espoir. Grâce à cette somme, l'association ouvre deux blocs opératoires en chirurgie cardiaque au Mali. : L'héritière et les enfants de Bamako